Une maison de famille penchée sur la mer, le long de la corniche Kennedy de Marseille, des chambres tournées vers l’horizon et une table trois fois étoilée depuis 15 ans : Le Petit Nice n’en finit pas de nous réjouir…
Au Petit Nice, chaque chambre fait face à la Méditerranée. Au-delà de la terrasse orientée plein sud, vers les premières calanques de Marseille, les îles du Frioul et le château d’If, le bleu du ciel et de la mer se confondent sous le chaud soleil de Provence. Les pieds dans l’eau, adossé au petit port de pêche du vallon des Auffes, le long de la corniche Kennedy qui ondule jusqu’aux plages du Prado, ce 5 étoiles offre une échappée belle vers le large. Une destination unique depuis 1917, date à laquelle Germain Passedat fit l’acquisition de cette superbe villa avec son épouse, une chanteuse d’opéra devenue muse de Louis Lumière. On a le goût du beau et le sens du rythme dans la famille… Deux qualités dont a hérité le petit-fils, Gérald Passedat.
Une échappée belle vers la Méditerranée
Après un parcours à l’école hôtelière, au Coq Hardi de Bougival, au Bristol, puis au Crillon à Paris, dix-huit mois chez Troisgros et un an chez Michel Guérard, le Chef a repris les rênes du bel hôtel de son grand-père. Aux petits soins pour sa maison de famille, il a sollicité les talents de Rudy Ricciotti, l’architecte du Mucem, qui a imaginé un décor fluide pour les chambres désormais dispersées dans deux villas contigües. Peu de cloisons, de belles matières, des teintes douces et des œuvres spécialement réalisées par l’artiste peintre Gérard Traquandi : au Petit Nice, la chambre est devenu paysage…
Gérald Passedat, le chef amoureux des grands fonds
Au bonheur des pupilles, Gérald Passedat a ajouté celui des papilles. Tourné vers les fonds marins, son restaurant gastronomique vient de fêter 15 ans de 3 étoiles au guide Michelin ! C’est que la cuisine de cet amoureux de Marseille fait corps avec la Méditerranée, s’affirmant entre profusion marine et ascèse minérale. Gérald Passedat n’a qu’une idée en tête : dévoiler à ses hôtes toutes les saveurs des poissons méconnus ou délaissés, pêchés pas plus loin que l’horizon. De la maturation au séchage, ce sont toujours les notes iodées qui dominent, le plus souvent associées à des légumes mûris en Provence, des saveurs végétales subtilement travaillées. Rouget cuit au four et au gros sel, tempura de girelle et canthe servie crue… On se délecte au soleil, face à la plus belle vue de Marseille. Plus d’informations sur https://www.passedat.fr/fr/hotel-5-etoiles-restaurant-etoile-marseille
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